Redécouverte

On parle souvent de paysages "à la Corot" pour caractériser la mélancolie bleutée des sous-bois. On oublie que ce peintre de l’école de Barbizon fut aussi un portraitiste subtil. Elie Faure (1873-1937) rend hommage à ces deux aspects de l’œuvre dans une monographie parue en 1930. Elle est republiée par les éditions de Paris/Max Chaleil le 25 janvier à l’occasion de l’exposition consacrée à Camille Corot, "Peindre la figure humaine", présentée du 8 février au 8 juillet au musée Marmottan à Paris. L’historien de l’art, qui fut l’un des inspirateurs de Malraux, considère que "devant le miracle Corot, toutes les habitudes de l’esprit sont à réviser".

12.01 2018

Les dernières
actualités