Vincent Jolit - RICHARD DUMAS/FAYARD
A la recherche du firmament perdu
Vincent Jolit signe un court roman au lyrisme ténu, dont le narrateur hospitalisé tente de lire Proust, s’échappe en imagination par la fenêtre, et se souvient.
Le temps quand on en a, ne pas le tuer. Même s’il est long, trop long, trop lourd sur un lit d’hôpital. Mieux vaut s’y plonger comme dans les pages d’un chef-d’œuvre qu’on avait négligé plus jeune. Le narrateur de Presqu’île de Vincent Jolit a choisi Proust. Pourtant la solitude propice à la concentration, à laquelle le patient aspirait, ne viendra jamais. Elle est doublée par la compagnie d’un vo
Lire la suite (1 970 caractères)S’abonner à livres Hebdo
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