A Paris, au printemps, ça sent la merde et le lilas
Fayard
L'auteure évoque ce que fut pour elle l'année 1968, pendant laquelle elle eut des ennuis avec la justice pour«Le con d'Irène»d'Aragon et«Lourdes, lentes»de Hardellet. R. Deforges raconte aussi les barricades, les lacrymogènes, les logorrhées gauchistes, les bars, les nuits parisiennes, et toute une galerie de personnalités littéraires ou mondaines.