Décèdée le 19 avril, Germaine Tillion laisse une œuvre, principalement éditée au Seuil et chez Tirésias, qui reflète une vie riche et remplie. Ses deux grands domaines auront été l’Algérie des Aurès, à laquelle elle consacra une grande partie de sa vie d’ethnologue, et le camp nazi de Ravensbrück, où elle fut déportée en 1943. Son dernier livre, Combats de guerre et de paix, paru au Seuil en 2007, rassemble trois textes sur l’Algérie.

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