Bertrand Santini, lauréat du prix de la passion jeunesse 2024 - Photo Audrey Dufer
Bertrand Santini, lauréat de la première édition du prix de la Passion jeunesse
L'auteur et scénariste Bertrand Santini se voit remettre le prix de la Passion jeunesse pour L'écrivain pour enfants qui détestait les enfants (PKJ). Cette récompense, lancée cette année, est une variante du prix littéraire de la Passion créé par Julie Marang en 2021.
La première édition du prix littéraire de la Passion jeunesse a récompensé Bertrand Santini pour L'écrivain pour enfants qui détestait les enfants (PKJ). L’auteur, déjà connu pour la série à succès Le journal de Gurty (Sarbacane), s’est distingué parmi quatre autres ouvrages dont Le Million de Luc Blanvillain (L'École des loisirs), Mon grand frère, Lionel Messi et moide Brigitte Smadja (L’École des loisirs) et Le dessert surprise de Jean-Philippe Arrou-Vignod (Gallimard jeunesse).
Pour cette première édition, le jury était composé de sept enfants, filles et garçons âgés de 9 à 12 ans, tous passionnés de lecture. Ceux-ci ont eu l’opportunité de discuter des œuvres en compétition, d'échanger leurs points de vue et de voter pour leur livre préféré lors d’un déjeuner.
Ouvrages en compétition et déjeuner du prix littéraire de la passion jeunesse
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Cette initiative portée par Julie Marang, propriétaire des Hôtels Paristory, s’inscrit dans la lignée du prix littéraire de la Passion qu’a remporté Camille de Peretti pour L'inconnue du portrait (Calmann-Lévy) en juin dernier. Il vise à encourager la lecture chez les plus jeunes en leur offrant l’occasion d’exprimer leurs opinions littéraires.
La cérémonie de remise des prix a lieu ce lundi 25 novembre au sein du Grand Hôtel du Palais Royal dans le premier arrondissement de Paris. Le lauréat se verra récompensé de cinq nuits dans un hôtel du groupe Paristory et d’un objet d’art réalisé par la céramiste Laëtitia Rouget.
Les académiciens Goncourt ont livré une première liste n’échappant pas à la thématique phare de la rentrée littéraire : les relations filiales, avec comme fer de lance Kolkhoze de l’expérimenté Emmanuel Carrère (P.O.L) mais aussi quelques nouvelles signatures et des titres venant d’éditeurs indépendants.
Quelques heures après sa nomination dans la première liste du prix Goncourt, Laurent Mauvignier a été couronné, mercredi 3 septembre, du 13e prix littéraire Le Monde pour son roman La maison vide, paru aux éditions Minuit.
Dans la limite de ses contraintes, la filière du livre peut activer certains leviers – remises, échéances, crédits retours – pour contribuer à la viabilité des librairies.
Par
Cécilia Lacour
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