La stratégie Ender, sixième film du réalisateur Gavin Hood en salle le 6 novembre, est l’adaptation du roman éponyme d’Orson Scott Card, traduit aux éditions de L’Atalante, chez J’ai lu (le 2 octobre, où vient de paraître Pisteur, un inédit de l’auteur) ainsi qu’aux éditions Nouveaux Millénaires. Mais contrairement au roman, où le lecteur suit l’évolution d’Ender sur six années, de ses 6 ans à ses 12 ans, le réalisateur et scénariste Gavin Hood a réduit l’action de La stratégie Ender sur une seule année. Au départ livre unique, La stratégie Ender s’est prolongée quelques années plus tard de cinq tomes (La voix des morts, Xénocide, Les enfants de l’esprit, A war of gifts (non traduit en français) et L’exil, les volumes 3 à 6 se situant chronologiquement entre La stratégie Ender et La voix des morts). Du même auteur, La stratégie de l’ombre reprend l’histoire du point de vue de Bean, personnage secondaire et ami d’Ender dans La stratégie Ender, faisant donc revivre certains épisodes connus du premier cycle sous un jour différent. Continuant à creuser le filon, Orson Scott Card publie le 21 octobre avec Aaron Johnston (illustrations Benjamin Carré) le premier tome de la préquelle de la saga d’Ender sous le titre La première guerre formique. Avertir la Terre aux éditions de L’Atalante. La saga d’Ender a également été adaptée en bande dessinée par Marvel, dont le deuxième volume arrive le 30 octobre chez Panini comics. M.-C. I.
