Cher M. le ministre de l'Intérieur, des cultes et du dragage des voix lepénistes , en tant que bon Français je voudrai porter à votre connaissance quelques informations qui vous font peut-être défaut. A l'initiative de ma femme, je me suis rendu le samedi 3 mars à La Goutte d'Or (la goutte... d'or quand on y pense !) près de Barbès Rochechouart à Paris. Vous n'ignorez pas par vos services la situation qui fait de ce quartier un bastion de l'anti-France et de la contrebande de cigarettes. Mais savez-vous qu'on y donne des spectacles littéraires inquiétants dans le cadre d'une manifestation intitulée « Festival au féminin »? Au coin de la rue Myrha que les terroristes islamistes occupent tous les vendredis, soit disant pour y «  faire leurs prières  », ne respectant pas ainsi le droit des Français à s'y promener en voitures, et de la rue Léon, bref dans cette zone de non-droit, soit dit en passant, se cache, sous la forme discrète d'un atelier de couture, un véritable lieu de débauche. Ce soir-là, contre la somme de 10€, une cinquantaine de personnes, principalement des femmes mal coiffées, ont consommé un repas constitué de cuisses de poulet (certainement halal) et des chips d'origine indéterminée. Mais le pire restait à venir : une femme, se disant comédienne, fille d'un hiérarque du parti socialiste (allié comme vous le savez aux terroristes basques d'ETA) a rendu gloire à une hors-la-loi, une « Outlaw » : Calamity Jane (1) la bien-nommée qui a soutenu Al Qaeda dès la fin du 19 e siècle. Bien sûr ce n'est pas Mme de Lafayette, mais j'ose espérer que nos candidats à la Fonction publique (tous des fainéants...) ne sont pas interrogés sur son œuvre infâme pire encore que La princesse de Clèves . Cette desperada a écrit pendant des années, cachée au milieu des Sioux, des bisons et des coyotes, son journal et des lettres à sa fille Janey qu'elle avait eu avec un autre assassin Wild Bill Hickock (tué d'une balle dans le dos, tout ce qu'il méritait). Cette criminelle fameuse, alcoolique notoire et joueuse invétéré de poker dans les saloons a ensuite entretenue sa légende dans un cirque avec le dénommé « Buffalo Bill ». Dans le spectacle « donné » à la Goutte d'Or, la comédienne qui interprète Calamity Jane ne cesse de se plaindre, des hommes, des femmes de bonne vertu, de la solitude et de l'absence de sa fille en faisant la cuisine. Elle a osé offrir à la fin de son exhibition son « gâteau de 20 ans » (25 œufs battus à part, 2,5 livres de sucre, autant de farine et de beurre et, entre autres, une pointe d'eau de vie). Je n'ose vous dire l'état des spectatrices à la sortie. Bien que de sexe mâle je n'ai pu relever le nom de ces harpies, sans doute du fait d'une défaillance oculaire (35 au début elles sont reparties à au moins 70 !) Voici, M. le ministre, ce que l'on lit à Paris, sous prétexte de théâtre, propageant les idées néfastes qui ruinent notre beau pays. Ce ne sont pas des femmes comme cela qu'il nous faut ! Heureusement qu'il en est d'autres qui sont, elles, de vraies blondes et qui sauront remettre à l'endroit le travail, la famille et la patrie. Bien que vous ayez déjà 67 ans je ne peux vous souhaiter une belle retraite. Il y a tant à faire dans nôtre pauvre France... Signé : Un vrai et courageux Français   PS : ne me recherchez pas pour en savoir plus. Je pars à l'étranger pour ne pas me voir confisquer ma fortune par le partageux mou néerlandais. (1) Calamity Jane, Lettres à sa fille , Rivages. Certains historiens américains, de vrais blancs républicains, ont affirmé que ces lettres n'étaient qu'un canular. Peut-on rire de la subversion ?...
15.10 2013

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