La nation, frontière du libéralisme : libre-échangistes et protectionnistes français : 1786-1914
CNRS Editions
L'historien montre qu'après la Révolution française, puis avec l'Empire, la construction de la nation se fonde sur un socle d'intérêts matériels préservés par le protectionnisme. La ligne de douane définit donc le marché, jusqu'au moment où l'échelle internationale s'impose et où l'Etat entérine cette ouverture libre-échangiste, ensuite contestée à nouveau sous la Troisième République. ©Electre 2022