Voyages et fleurs
Dans ces poèmes en prose écrits en 1980, à la fin de sa vie, M. Rodoreda évoque avec un humour grinçant les désastres de son temps et son désarroi face au genre humain. Dans les villages qu'elle représente, les rats parlent et les hommes sont des pleutres, et les fleurs que cette amatrice de botaniste décrit composent une flore d'une fantaisie noire.