THRILLERS

Des thrillers, des nouvelles et un concours d'écriture : Black Moon, le label des 15-25 ans d'Hachette, piloté par Cécile Térouanne, directrice du pôle Black Moon-Le Livre, se développe tous azimuts.

« La génération Black Moon a grandi. Le thriller est un genre qui se vend bien et nous voulions toucher un lectorat plus masculin », commente Cécile Térouanne, qui s'appuie sur une forte notoriété de la collection créée pour Twilight et compte proposer à la fois traductions et auteurs français. Inaugurée à l'automne dernier par les deux premiers thrillers de la série Annika Bengtzon de la Suédoise Liza Marklund (dont l'adaptation télévisée, six épisodes de 1 h 45, sera diffusée à partir du 24 mars sur 13e Rue), « Black Moon thrillers » passe à la vitesse supérieure, avec une nouveauté chaque mois. Après Liza Marklund en janvier et Codex lethalis du Français Pierre-Yves Tinguely ce mois-ci, sont annoncés pour le 6 mars, Hipnofobia du Catalan Salvador Macip et Le manuel du serial killer de Frédéric Mars ; en avril, le premier d'une trilogie de la Finlandaise Leena Lehtolainen. Suivront Liza Marklund (mai et octobre), Leena Lehtolainen (septembre) et Caroline Vermalle (novembre), dont Belfond publie le 14 mars L'île des beaux lendemains.

Parallèlement, Black Moon lance un grand concours d'écriture, Tremplin Black Moon, avec, entre autres partenaires, Melty, L'Etudiant et Orange. Les jeunes sont invités sur le site Lecture-academy.com à écrire un roman « dans le style de Black Moon » avant le 15 juillet. Le gagnant sera publié dans la collection. Cécile Térouanne annonce aussi une collection de nouvelles (quatre titres en mai et quatre en octobre). A son programme, Sublimes lunes de Kami Garcia et Margaret Stohl, le spin off de 16 lunes (qui sort sur les écrans le 27 février sous le titre Sublimes créatures et qu'elle réédite dans la collection et au Livre de poche Jeunesse avec la photo du film en couverture), Lauren Oliver, Jane Austen et Caroline Vermalle... Enfin, elle envisage aussi un magazine Black Moon qui ne sortira que si les lecteurs sont assez nombreux à souscrire, en faisant appel à « une communauté très fidèle et très puissante, et à la notion de partage présente dans les réseaux sociaux ».

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