La vie n’est pas rose chez Harlequin

La vie n’est pas rose chez Harlequin

La restructuration de sa maison mère Torstar touche désormais l’éditeur Harlequin.

Par Vincy Thomas,
avec vt Créé le 15.04.2015 à 22h43

La société canadienne avait annoncé il y a un mois un vaste plan d’économie pour la branche « presse » (incluant Metro et le Toronto Star). C’est désormais son unique filiale dans l’édition, Harlequin, qui fait les frais de ce dégraissage. Il s’agit de réduire sa masse salariale de 4% et ainsi d’économiser 3 millions de $ canadiens (2,1 millions d’euros) dans l’année qui vient. Les marges d’Harlequin ont été réduites par des problèmes de changes (devises) et de coûts (plus élevés) lors du premier semestre, faisant chuter le profit de 47% .

Mais les ventes sont aussi à la baisse (6%), et n’atteignant que 230 millions de dollars pour le premier semestre avec de fortes baisses en Allemagne, Italie et Pays-Bas.

La réorganisation toucherait 40 pays.

15.04 2015

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