Les Français ont dépensé 57 milliards d’euros sur Internet en 2014, un chiffre en hausse de 11% par rapport à l'année précédente, indique le bilan annuel réalisé par la Fédération du e-commerce et de la vente à distance (Fevad) en collaboration avec Médiamétrie et présenté mardi 27 janvier à Paris.
20 000 sites commerciaux supplémentaires ont été créés au cours de l’année – on recense aujourd’hui en France 157 300 sites marchands actifs –, de nouveaux acheteurs sont arrivés sur le marché, et la fréquence d’achat s'inscrit en progression constante, précise la Fevad, qui note que si le panier moyen d'achat baisse, à 81 euros (- 4 % par rapport à 2013), la hausse du nombre moyen de transactions en ligne par client (20 par an, contre 18 l'année précédente) a permis au marché du e-commerce de poursuivre sa croissance en 2014.
Amazon, leader incontesté
Le baromètre trimestriel de l’audience du e-commerce de Médiamétrie fait apparaître une fois encore qu'Amazon règne en France sur le secteur de la vente à distance, avec plus de 17 516 000 visiteurs uniques par mois en moyenne. Cdiscount (10 732 000 visiteurs/mois) et la Fnac (10 684 000 visiteurs/mois) se placent en deuxième et troisième positions des sites marchands les plus visités par les Français.
Selon la Fevad, qui a également présenté son enquête réalisée avec CSA sur les perspectives d’achat sur Internet en 2015, le marché du e-commerce en France atteindra les 62 milliards d'euros d’ici un an, porté par le développement de la 4G et des équipements nouvelle génération grand écran. Bertrand Sananès, directeur général de CSA, souligne que le rapport des Français à la vente en ligne est dicté par la volonté de consommer librement et à tout moment, la volonté de consommer en partageant, et la volonté de consommer en toute sécurité.
Le secteur du e-commerce est un secteur "créateur d’emploi, qui révolutionne le commerce, et face auquel nous avons tous un devoir d’adaptation", a souligné Carole Delga, secrétaire d’Etat chargée du commerce, de l’artisanat, de la consommation et de l’économie sociale et solidaire, qui a participé à l'étude de la Fevad. Pour elle, "il est primordial d’aller vers une politique d’accompagnement sur les nouveaux modes d’achat."
20 000 sites commerciaux supplémentaires ont été créés au cours de l’année – on recense aujourd’hui en France 157 300 sites marchands actifs –, de nouveaux acheteurs sont arrivés sur le marché, et la fréquence d’achat s'inscrit en progression constante, précise la Fevad, qui note que si le panier moyen d'achat baisse, à 81 euros (- 4 % par rapport à 2013), la hausse du nombre moyen de transactions en ligne par client (20 par an, contre 18 l'année précédente) a permis au marché du e-commerce de poursuivre sa croissance en 2014.
Amazon, leader incontesté
Le baromètre trimestriel de l’audience du e-commerce de Médiamétrie fait apparaître une fois encore qu'Amazon règne en France sur le secteur de la vente à distance, avec plus de 17 516 000 visiteurs uniques par mois en moyenne. Cdiscount (10 732 000 visiteurs/mois) et la Fnac (10 684 000 visiteurs/mois) se placent en deuxième et troisième positions des sites marchands les plus visités par les Français.
Selon la Fevad, qui a également présenté son enquête réalisée avec CSA sur les perspectives d’achat sur Internet en 2015, le marché du e-commerce en France atteindra les 62 milliards d'euros d’ici un an, porté par le développement de la 4G et des équipements nouvelle génération grand écran. Bertrand Sananès, directeur général de CSA, souligne que le rapport des Français à la vente en ligne est dicté par la volonté de consommer librement et à tout moment, la volonté de consommer en partageant, et la volonté de consommer en toute sécurité.
Le secteur du e-commerce est un secteur "créateur d’emploi, qui révolutionne le commerce, et face auquel nous avons tous un devoir d’adaptation", a souligné Carole Delga, secrétaire d’Etat chargée du commerce, de l’artisanat, de la consommation et de l’économie sociale et solidaire, qui a participé à l'étude de la Fevad. Pour elle, "il est primordial d’aller vers une politique d’accompagnement sur les nouveaux modes d’achat."
