“Nous ne devons pas oublier que l’édition est une industrie de service et de création et nous devons positionner, faciliter, rendre attractif et développer ces talents qui font le livre, pour qu’il reste même en temps de crise, un bien culturel de première nécessité”, a commenté Pierre Dutilleul.
Depuis 25 ans chez Editis, deuxième groupe d’édition français, qui emploie 2 200 personnes et appartient au numéro un espagnol Planeta, Pierre Dutilleul en a été le directeur des ressources humaines et de la communication. Il a aussi dirigé plusieurs maisons du groupe : Laffont-Julliard-NiL-Seghers (jusqu’à l’arrivée de Cécile Boyer-Runge en janvier 2014), Plon-Perrin-Orban, La Découverte, Masson, Belfond…
La FEE, qui réunit 28 associations d’éditeurs européens, a aussi élu Henrique Mota, directeur de la maison d’édition portugaise Principia, au poste de vice-président, et Rudy Van Schoonbeek, P-DG de Vrijdag Uitgevers à Anvers (Belgique), au poste de trésorier.
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