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Avec l’exposition "Le Douanier Rousseau, l’innocence archaïque", le mu-sée d’Orsay propose du 22 mars au 17 juillet 2016 une mise en lumière critique de l’œuvre du peintre Henri Rousseau (1844-1910), emblématique de l’art naïf, avec une réflexion sur la notion d’archaïsme. Coédités avec Hazan, l’album et le catalogue de l’exposition, dirigés par les commissaires généraux Guy Cogeval et Gabriella Belli, paraîtront simultanément le 16 mars. Pour mieux comprendre l’univers de cet artiste singulier, Gallimard réédite le 3 mars Le Douanier Rousseau, un naïf dans la jungle, ouvrage signé par l’écrivain et critique d’art Gilles Plazy. Le lendemain, les éditions toulousaines Ombres publieront Le Douanier Rousseau par ses contemporains, un recueil de témoignages de ses amis et admirateurs éclairant la personnalité du peintre. Chez Fage, le 10 mars, c’est son œuvre qui sera décryptée avec Le Douanier Rousseau, un livre qui regroupe toiles et citations représentatives de son travail. Le même jour, Charles Victoria publie chez Parkstone Henri Rousseau, un beau livre présentant l’œuvre du peintre. Solar proposera le 17 mars une biographie signée Henriette Pforr, richement illustrée, avant celle de Nathalia Brodskaïa à venir chez Prisma le 17 avril. Au même moment, Eyrolles éditera Henri Rousseau, le Douanier : le naïf archaïque, retraçant la vie et l’œuvre de l’artiste. Larousse apportera avec Le Douanier Rousseau, à paraître le 6 avril, les clés pour appréhender son art et y initiera les plus jeunes (dès 8 ans) avec Les 10 plus beaux tableaux de Henri Rousseau, en librairie le 27 avril. Pauline Leduc

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