Contrefaçon

Les sites de diffusion d’œuvres piratées vivent surtout de la publicité : il suffirait de les priver de cette recette pour résoudre une partie du problème. C’est la principale mesure proposé par le rapport remis le 12 mai à la ministre de la Culture sur les "outils opérationnels de prévention et de lutte contre la contrefaçon en ligne", disponible sur Livreshebdo.fr. Dans le livre, les best-sellers sont piratés précisément parce que leur notoriété attire du trafic, rentabilisé ensuite par la publicité. Le rapport préconise aussi la mise à jour d’une liste de sites pirates, et l’installation de moyens techniques contre la réapparition constante d’œuvres piratées ou de sites pirates miroirs. H. H.

16.05 2014

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