JUSTICE

Estimant que le jugement des prud'hommes ne réglait en fait presque aucun des problèmes qu'ils avaient rencontrés avec Harlequin (voir LH 926 du 19.10.2012), les sept correcteurs qui avaient saisi la juridiction paritaire font appel. S'ils ont obtenu gain de cause sur la question du comptage des espaces dans l'évaluation de leur travail, d'où l'affaire était partie, ils considèrent en revanche que la décision doit être réexaminée dans la plupart des autres litiges soulevés. Pour l'essentiel, cela concerne le statut des travailleurs à domicile et l'égalité de traitement avec les salariés travaillant au siège de l'entreprise, rejetée dans le jugement, ce dont se félicite Stéphane Aznar, directeur général d'Harlequin (voir LH 927, du 26.10.2012, p. 50). >En réponse, l'éditeur fait également appel pour "confirmer tous les nombreux points du premier jugement qui [leur] ont été favorables, et infirmer les points de détail [qu'ils] continueron[t] à contester, comme le rappel de salaire sur les espaces".

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