Parmi la dizaine d’ouvrages retenus lors de la première sélection, quatre auteurs se distinguent dans cette 11^e édition du Grand prix de littérature américaine. La distinction vise à « couronner un roman américain qui se distingue par ses qualités littéraires de premier plan, afin d’offrir un repère aux lecteurs passionnés par cette littérature et les écrivains qui l’animent », selon les organisateurs.

Le nom du lauréat sera annoncé le 10 novembre. Il succédera à Nathan Hill, récompensé en 2024 pour Bien-être (Gallimard), traduit par Nathalie Bru. Paru en août 2024, l’ouvrage s’est depuis écoulé à 54 403 exemplaires (données GFK)

Les ouvrages finalistes :

• Le compromis de Long Island, de Taffy Brodesser-Akner, traduit par Diniz Galhos (Calmann-Lévy)
   
• Combats de filles, de Rita Bullwinkel, traduit par Hélène Cohen (La Croisée)
   
• Un monde nouveau, de Jess Row, traduit par Stéphane Roques (Albin Michel)
   
• Nous serons tempête, de Jesmyn Ward, traduit par Charles Recoursé (Belfond)

Le jury se compose de dix membres : les journalistes Oriane Jeancourt Galignani (Transfuge), Philippe Chevilley (Les Échos) et Nicolas Carreau (Europe 1) ; les libraires Sylvie Loriquer (L’Attrape-Cœurs), Géraldine Mausservey (Librairie de Paris), Jean-Christophe Millois (École de la Librairie) et Pascal Thuot (Millepages) ; ainsi que les éditeurs Caroline Ast (Belfond), Francis Geffard (Albin Michel) et Juliette Ponce (Dalva).