Vanessa Springora : réponse à G.
Vanessa Springora est enfin parvenue à écrire le calvaire de son adolescence, sous l'emprise d'un écrivain de 36 ans son aîné.
C'est un drame intime qu'elle avait gardé enfoui depuis son adolescence. En 1985, dans l'un de ces dîners en ville où sa mère, attachée de presse dans l'édition et qui, divorcée, élevait seule sa fille, l'emmenait régulièrement, Vanessa Springora rencontre celui qu'elle désigne par cette simple initiale, G. Un écrivain sulfureux, admiré, contesté également, à cause de l'étalage complaisant qu'
Lire la suite (3 700 caractères)S’abonner à livres Hebdo
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