Le 30 janvier, la sortie sur plus de 1000 écrans français de l’adaptation cinématographique d’Astérix aux Jeux Olympiques est accompagnée de la réimpression de la Bande dessinée d’origine et d’un album illustré autour du film. Il sera donc difficile d’échapper au phénomène Astérix. Les produits licenciés n’ont jamais été aussi nombreux.
12e tome de la série, l’album écrit par Goscinny et dessiné par Uderzo célèbre son quarantième anniversaire. Il était paru lors d’une année olympique très particulière puisque Grenoble accueillait les jeux d’hiver. A l’époque, Astérix triomphait sur un podium, sous les hourras de Panoramix et Obélix. Depuis le 16 janvier, l’album a changé de couverture. Cette édition limitée a été imprimée à 100 000 exemplaires, avec un visuel où César fait grise mine et tourne le dos à un Astérix vainqueur, les lauriers de César à la main.
Autre parution, l’album du film, annoncé comme une première éditoriale. Les éditions Albert René ont consacré un album à l’adaptation cinématographique, soit soixante quatre pages illustrées retraçant l’histoire du film et huit pages pour découvrir les coulisses du tournage.
Par ailleurs, la sortie européenne du film a contraint le marketing gaulois à traduire les deux ouvrages.